La Cour fédérale autorise le maintien des avis trompeurs et inadéquats des compagnies aériennes

La Cour fédérale autorise le maintien des avis trompeurs et inadéquats des compagnies aériennes
La Cour fédérale autorise le maintien des avis trompeurs et inadéquats des compagnies aériennes
Écrit par Harry Johnson

La Cour d'appel des États-Unis pour le circuit du district de Columbia a statué contre FlyersRights.orgla tentative de mettre les compagnies aériennes américaines en conformité avec la Convention de Montréal, le traité international régissant les voyages aériens.

L'article 19 de la Convention de Montréal garantit l'indemnisation des passagers sur une base quasi sans faute pour les retards de vol sur les voyages internationaux jusqu'à 6,400 3 $. Selon l'article XNUMX du traité, les compagnies aériennes doivent fournir un préavis suffisant indiquant que les passagers peuvent avoir droit à une telle indemnisation pour les retards de vol.

La décision du tribunal permet au DOT de continuer d'abdiquer sa responsabilité en vertu de son mandat légal d'interdire les pratiques déloyales ou trompeuses des compagnies aériennes en mettant fin au manque de préavis concernant les droits des passagers au titre de la Convention de Montréal. Le tribunal s'en est remis au DOT, qui a fait valoir qu'il n'avait pas recueilli suffisamment de preuves de la confusion des passagers.

Paul Hudson, président de FlyersRights.org, a expliqué: «Les compagnies aériennes vous informent seulement que l'indemnisation peut être limitée, sans divulguer le montant de l'indemnisation pour retard (jusqu'à 6400 $), comment obtenir une indemnisation ou que le traité prévaut sur toute disposition contraire d'un contrat de transport de la compagnie aérienne. Les compagnies aériennes enterrent les informations dans un jargon juridique dense dans de longs contrats de transport sur leurs sites Web, de sorte que l'écrasante majorité des passagers ne sont pas au courant de leurs droits de compensation de retard sur les voyages internationaux.

Les trois principales compagnies aériennes américaines (American, Delta et United) qui proposent des vols internationaux ne donnent aucun préavis ou enterrent les avis dans un jargon juridique incompréhensible au plus profond de leurs sites Web, et les employés des compagnies aériennes informent régulièrement les passagers qu'ils n'ont aucun droit d'indemnisation pour retard.

M. Hudson a poursuivi: «Il appartient maintenant au Congrès d'exiger des avis en langage clair pour mettre fin à la tromperie en matière d'indemnisation pour retard des compagnies aériennes. Cette pratique trompeuse a privé les passagers de milliards de dollars d'indemnisation pour retard en vertu du droit international. »

#reconstructionvoyage

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A propos de l'auteure

Harry Johnson

Harry Johnson a été le rédacteur en chef de eTurboNews depuis plus de 20 ans. Il vit à Honolulu, Hawaï, et est originaire d'Europe. Il aime écrire et couvrir l'actualité.

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